Le présent papier est structuré en deux parties. Dans la première partie, quelques techniques pour la structuration des graphes en communautés sont présentées. La deuxième partie, consiste en l’exploitation des concepts de visualisation et d’analyse structurelle des graphes pour l’accès à l’information modélisée par ces mêmes graphes.
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La Classification des sciences de l’information pose une série de problèmes essentiellement d’ordre épistémologique. Vu qu’elles sont tiraillées entre leur appartenance originelle aux études de presse en France ou la library science aux états unis et les apports actuels de l’école anglo-saxonne avec son soubassement technologique prononcé. Constituant autant de strates conceptuelles et technologiques, ces apports tendent à restructurer l’ensemble de la taxinomie classique de ces sciences. D’ou la tendance à privilégier des langages documentaires de type combinatoire d’une part et le modèle de construction à postériori de ces langages d’autre part.
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L’indexation des documents est une opération intellectuelle nécessitant, dans toute bibliothèque encyclopédique, l’application des règles normalisées. son champs d’application est bien définie ainsi que sa forme et ses fonctions. Elle permet de dégager le sujet précis du contenu ou vedette matière. Celle-ci est structurée en descripteurs ou sous vedettes de point de vue de localisation géographique ou chronologique et de la forme, à l’aide d’une ponctuation propre. L’indexeur guide l’utilisateur dans sa recherche bibliographique, par des renvois. Pour sauvegarder la cohérence du catalogue des matières, le service d’indexation doit créer sa propre liste d’autorité dans un langage documentaire aussi rigoureux que celui d’un macro thésaurus. Enfin pour éviter la dichotomie linguistique, il y’a lieu d’intercaler aux mêmes vedettes matières, les fichiers des documents arabe et langues étrangères pour obtenir un catalogue alphabétique unifié.
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